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Les Chroniques de L'ANPEiste

Les Chroniques de L'ANPEiste
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28 décembre 2009

Chronique dédicacée à la Maman d'une amie allergique au "h"

   Toute ressemblance avec des personnes existantes, ayant existé ou ayant prévu d"exister ne manquerait pas de m'irriter.

   Je m'ennuyais ce jour là. "Mais que pourrais-je donc branler?" me dis-je. A peine avais-je terminé ma phrase qu'une main, plus rapide qu'un postillon tout plein de grippe A se précipitant sur un nouveau-né afin de compromettre son avenir sans passer par la case congélateur, à peine avais-je terminé ma phrase qu'une main se télescopa à hauteur de mon globe oculaire en moins de temps qu'il n'en faut à Benjamen Castaldi pour dire une connerie. Et cette main, peste diable bouffre! C'était ma bite! Ma bite qui avait tendu l'oreille à l'énonciation du mot susmentionné* qu'elle associait toujours à une pratique répugnante et gluante que la banque du sperme, bien qu'épargnée par la crise, ne considère pas moins comme un ignoble gâchis.

   La voyant trépigner, la main levée pour bien signaler sa présence phallique, mon sang ne fit qu'un tour. En effet, elle avait convoqué tout le précieux liquide vermeil afin que mes globules lui formassent un comité de soutien.

   Pour tout vous dire, ses revendications commençaient à me contrarier fortement, et ne trouvez-vous donc pas déraisonnable que ma bite me casse ses couilles?

   La prenant entre quatre yeux (enfin, entre deux yeux et deux grumeaux, il ne faut pas confondre: les yeux sont dans le bouillon alors que les grumeaux... euh...bon.) je lui expliquai que ses caprices, c'était fini. Et dire que c'était l'avilissement de notre premier amour!

   Elle opina, car elle aimait les jeux de mots faciles, me regarda d'un air piné, car elle aimait également les fautes de frappe, et fondit en sanglots grumeleux. Étant habituée aux kleenex, elle ne se formalisa pas que je lui en tendît un. Puis elle se leva, légèrement vacillante, fit ses valises, enfila un imperméable Durex, prit par la main nos deux jeunes couilles, et s'en fut dans la brune... Pardon, la brume matinale.

   Je ne l'ai plus revue.

   Cher ANPEiste, ta gueule. Va plutôt voir le conseiller d'orientation, qui t'orientera, comme d'habitude, vers la sortie. Et une fois dehors, regarde bien si tu ne croise pas ma bite dans la rue.

   J'ai déposé une annonce sur Meetic: "Cherche grosse bite, récompense assurée, appeler le 06...

   Arkham (is not dead. Yet.)

*-C'est qui Mentionné?

-Toi, ta gueule. Recompte plutôt tes chromosomes 21.

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16 mars 2009

Singe en Baptiste

Sympathique auditoire, public aimant, amis pales, lecteurs, bonsoir.

Phoque je vous dise.

Il m'en est arrivé une bien bonne samedi soir : j'ai mangé avec Jésus !

Le vrai, le faux ? C'est ce que je vais m'employer à tenter de découvrir.

Toudabor, son apparence : copie con-forme des posters qu'on distribue au catéchisme, à ceci près que l'auréole unique et sur-capitale de la version originale était remplacée par une version double et sub-aissellienne.

Passons.

Ensuite, son attitude. Au lieu de marcher sur l'eau comme la version homologuée, le "mien" avait plutôt tendance à surfer sur les Bourgogne blanc grands crus et sur la bière d'importation, mais puisque je ne sais quel con a dit "qu'importe le flacon....", passons encore.

Les miracles ? pas évident à première vue, mais à bien y réfléchir, qu'il ait, malgré le volume d'alcool ingurgité, pu à l'issue du repas se lever et marcher ne doit rien au Lazarre. Le miracle est bien là !

Enfin, ultime et incontournable démonstration, la légende afirme que ses voies sont impénétrable et ma tentative le confirme : je me suis cassé un ongle ! Ce der-niais point est d'ailleurs susceptible d'induire le désarroi, voir la désillusion du plus ancien membre de ma progéniture, qui nourrit sans aucun doute à son égard (le Jésus de samedi) un sentiment enflammé que l'on peux qualifier sans ambage de "feu de l'amour", tant tout au long de la soirée il navet Dieu que pour lui.

Et c'est à ce point de ma réflexion que, conforté dans mon analyse par la divine lumière Wikipédienne, le doute s'insinue dans mon bouillonnant esprit, car à y regarder de plus près, il apparaît selon Kurnonsky que le Jésus est une sorte de Rosette.

On comprend ainsi mieux les motivation de mon aîniais, incontestablement pédé, qui se laisse attirer par une sorte de rosette, on subbodore que ses voies ne resteront pas éternellement impénétrables.

Si l'on résume donc, il semblerait que j'ai partagé ce repas sènique avec un succéda(m)né de Jésus mais fort probablement avec un futur enculé !

Je me délecte à l'avance de vos réactions, les garçons !!

Même pas mal.

ProtzChniak

13 mars 2009

Caprin : c'est fin !

Groupies ennamourées, amoureuses transies, luttes intestines, transies intestines, public chéri, mon amour, bonjour !

A quelques pas du printemps qui pointe vaillament le bout de son nez (quoique, il faudra que je tate pour m'assurer qu'il s'agit bien de son nez, le printemps n'est-il pas fortement entaché de verdeur ? je m'inflige, en individu responsable au-delà de la simple gestation de ce qu'il a contribué à engendrer, la joyeuse tâche de redonner un souffle de vi (e ou t, rayez la mention inutile) à ce moribond blog.

Charge à moi, donc, de vous livrer le précoce bourgeon ProtzChniakien qui suit.

Introduisons donc le sujet, qui à l'aube de la saison du renouveau de la vie (je parle de la vraie, de l'organique, pas de la financière qui arbore (?) ces derniers temps une tendance dégénérescente chronique anonciatrice d'une fin proche, poil au cancer), ne saurait faire l'impasse sur ce que celle-ci (la vie, imbécile, pas l'impasse) à de plus réconfortant malgré son auto-suffisance : la reproduction.

"O printemps suspend ton prinvol" disait le poête (de mes choses), loin de moi l'idée de le contredire, bien au contraire.

La reproduction donc, sera le sujet du jour, mais comme d'aucuns s'y attendent (y'a intérêt), les chroniques ne sauraient se contenter de l'aborder comme tout un chacun, soit sous forme d'inventaire à l'après verre des différentes méthodes disponibles, soit sous forme de quelque salace illustration.

Non, non, regardons comme à l'accoutumée par le petit bout de la lorgnette.

Prenons pour commencer, deux individus lambda de sexes différents.

J'appelle à la barre Blanchette, vaillante sujette caprine, ainsi que John R. son dulcin (le masculin de dulcinée, je vous emmerde !), légionnaire pratiquant de son état.

Ils sont bien sûr faits l'un pour l'autre et vont hardemment (exprès le h) contribuer à illustrer ce propos (de lapin, je vous emmerde encore).

Ils s'aiment donc, et vont s'unir sous nos yeux z'hébahis.

Oui, mais au paravent (Israëlien étant donné l'absence de crevette) de s'entre pénétrer, il convient de répondre à la question suivante :

"Le légionnaire est-il soluble dans la chèvre ?"

Ben ouais, comme chaque Hun sait, la chèvre est chaude, je l'affirme.

Que les vieux qui doutent se rassurent, je ne ments pas, ce n'est pas mon genre de servir à des croûtons des salades de chèvre chaude.

La température interne de la chêvre est du même ordre que celle de la femme, voir 2 à 3° supérieure, ce qui en explique (partiellement) le confort.

De l'autre côté, le légionnaire.

Suppositoire que la torpille pénétrante du légionaire soit une supposition, ou le contraire (quelques cas on en effet été recensés, mais il est vrai qu'ils ne sont pas légion).

Que se passe-t-il alors si John R. cède légitimement à ses basiques instincts ?

Rassuré par la solidité apparente de sa pointe-bique, il ne va pas se méfier de l'ardeur de sa promise, et si personne ne le retient, il l'en cuira !

La chaleur interne intense engendrera la déliquescence de sa pointerole, arrachant à John ce cri déchirant : "Blanchette, tu me fais fondre".

Cela aura, au passage, l'effet de lui faire retrouver quelque liquidité, attisant l'avidité des banquiers qui sont en train de devenir chèvre.

Existe-t-il un moyen d'éviter ce supplice?

Hummmm, que je réfléchisse un peu?

La chèvre ne naît pas directement adulte, je veux dire, à l'age ou elle est apte à recevoir un légionnaire comme vous et eux (pas moi !).

Elle doit passer par les étapes de embryon, foetus, bébé, enfSTOP ! Pas la peine d'aller plus profond, je veux dire plus loin, si la chèvre existe en format bébé, la solution c'est de la congeler !!!

Et voilà, une fois encore, lse chroniques qui vous sont si chères vous apportent la solution à ces petits problèmes qui vous pourrissent le quotidien, même au printemps.

Merci qui ??

Quand à M. le conseiller d'orientation si je lui dit ce que je pense, ça va jeter un froid ..

ProtzChniak

9 décembre 2008

La physique amusante

Vénérés lecteurs, adulés aduleurs, Belges, Suisses, myopathes, bonjour.

Afin de venir en aide à tous les lycéens en détresse face à l'incongruité logarithmique du programme de terminale, qui soit dit en passant, népérien pour attendre, l'idée m'est venue de leur tendre la main, main qui au passage jouit d'une grande liberté puisque malgré le battage Téléthonesque, aucun myopathe n'a consenti à la serrer.

Les programmes scolaires, c'est un fait (c'est infect, me soufflent certains) souffrent d'incompréhension par le fait qu'ils sont souvent bien éloignés des réalités quotidiennes, et Dieu sait que les lycéens juste pubères sont des grands adorateurs des réalités et qu'ils aspirent à y prendre pied !

Ces jeunes cons donc, on besoin d'être chaperonnés pour faire le lien entre savoir académique et réalités actualistiques.

Et puisque les matières interressantes ne se limitent pas à Maths et Dessin, je me fait fort de leur ouvrir un horizon ProtzChniakien sur une matière qui vaut le détour : la physique.

Commençons donc par la compression de l'air, et l'incompressibilité des liquides.

Comme tout programme qui se respecte, connençons par une expérience, j'appelle Wikipédia à la barre :

"Le ludion est un montage de physique (ou un jouet) illustrant la forte compressibilité de l'air (par rapport à celle de l'eau) : un objet creux et rempli d'air est immergé dans un récipient fermé par une membrane. L'air qu'il contient sert à le faire flotter. L'apparition d'une pression sur la membrane fait descendre l'objet creux et l'arrêt de la pression le fait remonter."

La réalité actualistique maintenant :

Le Grégory est également un corps creux (aucun écclésiastique n'ayant eu la présence d'esprit de le remplir !), mais contrairement au ludion, il est d'abord enfermé dans une menbrane (généralement en plastique, type sac poubelle) puis ensuite immergé dans un liquide.

Par esprit de contrariété, il coule.

La similitude avec le ludion tient au fait que la pression a également un effet. Mais l'esprit de contrariété l'emporte, dans le cas du Grégory, la pression le faire remonter, ou plutôt, les pressions . L'histoire a démontré que sont efficaces l'ensemble des pressions suivantes :

* La pression médiatique

* La pression juridique

* Et tout récemment, la pression génétique, plus connue sous le nom d'ADN.

L'effet de la pression Cervoisique (la bière, quoi) reste à démontrer, en tout cas, les protagonistes de cette affaire n'ont pas fini de se faire mousser !

Voilà, l'heure de la récré a sonné, rendez vous sous peu pour une nouvelle leçon passionnante.

Quand à M; le conseiller d'orientation, je lui conseille de se plonger dans son bouquin de physique.

ProtzChniak

29 novembre 2008

Welcome to the Martine

     Eh bien voilà,après d'âpres combats fratricides en lieu et place d'un même combat fraternel, après des machinations implosives au lieu d'associations explosives, après les oppositions dans l'union plutôt que l'union dans l'Opposition*, voici-voilàvoici-voilà qu'on nous a remplacé notre fromage de Hollande par une Martine au Brie! Le progrès, on vous dit!

     Fra-ter-ni-té!

     Va-t'faire-ni-querVa-t'faire-ni-quer! fut la réponse.

     Fraternité, oui, mais en petits groupes, petites unions égoïstes d'où sortent des projets consanguins inaboutis tels qu'on en a depuis 15 ans de la part de ces cons sans gain!

     Et c'est reparti pour un tour dans la machine à perdre! Pas la peine d'attacher vos ceintures, elle n'avance pas.

     Quand aux nouveaux arrivants, des courageux s'il en existe...

"Welcome, my son, welcome to the Machine"

     Le manège en chantier n'est pas près de redémarrer. Il fut pourtant un temps où le PS marchait bien, pimpante petite machine...

"Remember when you were young, you shone like the sun..."

     Pourquoi ont-ils tué Jaurès?

     Enfin, on va finir par me prendre pour un ségolènisteségolèniste si je continu mes conneries. Pas vraiment, mais la Royale nous aurait permis d'avoir un peu de pizza sous le fromage. Pas à mon goût, certes, mais un peu de garniture neuve aurait pu pointer le bout de son jambon et, qui sait, entre deux morceaux de champignons, on aurait peut-être pu apercevoir un piment... Philosophie Jean-Claude Dusse: "On sait jamais, sur un malentendu, je peux peut-être conclure!"

     Eh ben non!

     Salut les improbables nouveaux!

"What did you dream? It's alright we told you what to dream."

     Bien conformes, bien mous, bien socialistes.

     Cher ANPEiste voulant vous socialister, je ne saurais trop vous recommander d'aller voir le conseiller d'orientation qui vous orientera, comme d'habitude, vers la PS.

     La Porte de Sortie.

     Ah, Jaurès, "How I wish you were here!"

     C'est pas demain que l'Internationale sera le genre humain.

     Arkham

*On a plutôt l'Opposition dans l'oignon!

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19 novembre 2008

Triviale Poursuite

Auditoire attentif, lecteur vénéré, ANPEisteophile de tout poil, public chéri, mon Namur, bonjour !

Ce n'est pas sans une certaine émotion, doublée d'un sens aigü des responsabilités (pour en être de très loin le membre le plus vaillamment actif et d'une qualité qui surnage copieusement au-dessus de la masse insipide qu'est la production des autres z'intervenants au sein de cette bouleversante chronique), que m'auto-échoit la plaisante et vivifiante tâche de redonner (tellement mieux que : rendre) vie à cette page moribonde depuis la vaine tentative de Flamel (3 mois, déjà), et encore, rendons hommage à son effort qui n'aura eu pas plus de retentissement qu'un pet étouffé de nonne au coeur d'un concert symphonique, pâle bandaison semi-molle au milieu d'un océan de saillies aussi éloquentes et admirables que ProtzChniakiennes.

Ze ANPEiste chronicle iz back donc, pour notre plus grande délectation.

Mais de vaillante chronique n'est point question, si brûlant sujet n'en est la raison, Rabelaiserais-je sans honte pour vous rappeler l'essentielle règle du jeu de ce défouloir à pensarde que sont les suce-nommées chroniques.

Donc, pour alimenter cette chronique, il faut un sujet.

C'est dommage, car en fait de sujet, j'aurais plutôt voulu traiter du monarque.

Et plus précisément de la reine.

Voici donc le choix fait, en ce jour étonnant qu'est la St Tanguy, le sujet se doigt d'être Royal.

Ainsi donc, et nonobstant tout désir de la part de l'auteur de tirer sur l'ambulance qui transporte le pianiste moribond (pour les lecteurs, faut voir, m'étonnerais pas qu'il y ait 2 ou 3 pervers dans le lot (et un Grégory dans la vologne, qui n'est pas affluent du lot, on frôle le hors sujet), non ?), donc disais-je, n'y voyez pas là l'intentionnelle volonté d'aggraver une situation qui n'a largement pas besoin de mon concours pour l'être (aggravée, imbécile !), simplement, ce sujet est tout bonnement incontournable.

Et c'est pour ça que je vais rentrer dedans.

Alors voilà, roulement de t'en bourre, the sujet of the day, his  name is : Royal

Ségolène Royal.

Voilà, c'est fini, normalement il n'en faut pas plus à un individu normalement constitué pour être pris d'un irrésistible fou-rire.

Nan, je déconne, on va creuser.

Mais pas trop.

Aujourd'hui, c'est mon jour de bonté (ben oui, c'est St Tanguy), enfin, un de mes jours de bonté, il y en a plein oui, je sais, ça me perdra.

Jour de bonté donc, alors je vais faire preuve tout à la fois d'une inattendue mansuétude à l'égard du sujet, doublée (la mansuétude, pour ceux qui suivent pas, 3 mois de léthargie, ça aide pas !) d'une ouverture vers les traditions d'une Asie si méconnue et pourtant décriée. Je ne parle pas du fort a propos défunt Jorg, j'évoque le portrait chinois.

Foin donc d'acharnement sur la sujette, place plutôt à une douce évocation parallèle concernant des expressions, dont les définitions qui vous seront ci-après livrées recellent moultes troublantes coïncidences qui ne devraient pas manquer de susciter chez ceux d'entre mes lecteurs dotés d'un soupçon d'esprit et de zygomatiques en état de marche, quelques spasmes rigolatoires.

Puisons dans l'intarissable source de savoir qu'est Wiki.

Départ en douceur :

Pizza Royale : une pizza royale est garnie de tomates (en rondelles), de jambon (en morceaux), de champignons (de paris, ça se précise...) et de fromage (je vous dis pas d'où, trop facile !). Elle peut en outre être décorée de quelques olives.

Puis :

Bugatti Royale : (type 41), construite à 6 exemplaires en 1926. Elle fut l'aboutissement des rêves de luxe d'Ettore. Elle est équipée d'un moteur à 8 cylindres en ligne, d'une cylindrée totale de 12763cm3.

L'alésage est de 125mm (bravo tonton François !). Sa boîte est à 3 rapports.

Son bouchon de radiateur arbore un éléphant cabré. !!

Casino Royale : Roman d'espionnage de ian Fleming publié en 1953.

Puis, film de divertissement de Martin Campbell, 2006, sorti le 22 novembre (prémonitoire ?). Daniel Craig, dans le rôle de James Bond, y éclate une Aston Martin Aubry DBS lors d'une course poursuite.

Enfin :

Gelée Royale : "La gelée royale est le produit de sécrétion du système glandulaire céphalique des abeilles ouvrières. C’est une substance blanchâtre aux reflets nacrés, à consistance gélatineuse, de saveur chaude, acide et très sucrée, qui constitue la nourriture exclusive :

  • de toutes les larves de la colonie, sans exception,
  • des larves choisies pour devenir reines,
  • de la reine de la colonie pendant toute la durée de son existence à partir du jour où elle quitte la cellule royale."

Ainsi, la reine, en poste ou en devenir, se doit de bouffer de la Royale, tout s'essplik !

Textuel, j'ai rien inventé. Mais ce n'est pas tout :

"La gelée royale contient une proportion considérable de protéines, d'acides aminés, de lipides, de vitamines et de sucres, et est également reconnue pour avoir diverses vertus nutritionnelles et pharmacologiques sur les humains.

En réalité, peu d'études scientifiques ont mis en évidence les bienfaits de la gelée royale sur la santé humaine. Quoi qu'il en soit, quelques expérimentations in vivo et in vitro [1] [2] ont permis de constater:

  • une activité vasodilatatrice et hypotensive.
  • une activité anticholestérolémique.
  • un effet anticancérigène."

En d'autres termes, elle est gonflante, elle dégraisse mais on n'en meurt pas.

Mais il y a mieux :

"Concernant d'éventuelles implications négatives sur la santé humaine, un seul cas d'inflammation intestinale associée à des diarrhées fut reporté au Japon en 1997. Ce cas est lié à une consommation excessive de gelée royale".

C'est pas moi qui l'ai dit, mais la preuve est là : à trop forte dose, elle fait chier !

Voilà, bouillant lecteur à tête d'hilare, cete reprise se devant d'être modérée, je pense qu'il est juste d'arrêter là la demonstration.

En espérant avoir agité votre verve jubilatoire, et en souhaitant que quelques uns d'entres vous m'emboîtent le pas (et seulement le pas), je vous dis, chers lecteurs, à bientôt.

Pour de nouvelles zaventures

ProtzChniak

10 août 2008

Meurt voilà...

Mon très cher public absent, mes très gentils petits masturbateurs précoces avides de semence intellectuelle sans colorant ni conservateur, cher personnes au courant 100% pur jus, amateur de connerie sur internet.

Bonsoir.

Suite à une invitation donnée par moi à votre et mon bien-aimé Arkham (mon petit ange en sucre… !), ce mafieux de Protzchniak si cher à votre assemblage oreilletto-ventriculaire usa de moyen fort agréable pour me faire revenir sur l’anpeiste. Quand je dis fort agréable, c'est-à-dire qu’il me tenait par les couilles. C’était doux, ça chatouillait, ça sentait la crème nivéa, ça avait le goût du white spirit.

Me voilà donc obligé par d’odieux (si tu es là, fais nous un signe !) moyens à vous écrire ces quelques lignes de verve vaine (remarquez l’allitération en [v], ça en jette, c’est classe, je suis trop bonne) pour vous montrer que non, je n’ai pas décidé d’imiter ni Evelyne Thomas, ni le petit Valentin, ni la population tibétaine : je ne suis PAS mort. Ah, on me signal qu’Evelyne Thomas n’est pas morte. Si si, ne vous inquiètez pas, j’y veille.

Sachez d’abord que je ne vous matthieuchédide pas. Je n’aime pas le public, je n’aime pas le privé, autant vous dire que je n’aime pas la politique. Et quand bien même ce parasite s’exprimerait moins correctement, je
l’emmerderai de toute façon. Moi, je suis pour la démocratie, un point c’est tout. Vous la fermez tous, et vous m’approuvez .

Pourquoi donc vous ai-je simulé une mort clinique sur l’internet ? Eh bien, parce que comme le dirait Arkham (qui, sur le point de ma fréquence d’apparition sur l’anpeiste égale aux performances sportives de Roselyne Bachelot, n’a pas tout à fait tort), « je ne suis pas productif ». Moui, c’est vrai que l’écriture satirique n’est pas mon fort. Je préfère quand c’est drôle (haha, boutade, l’anpeiste est pour moi le seul site qui réussit à être vraiment drôle avec aussi peu de couleur ^^). Donc voilà, déjà, premier point : je ne suis pas vraiment un écrivain satirique. Hé oui, je ne suis qu’un demi-dieu, et ça c’est arrêté à la partie du bas. Le haut est moins avantagé.

Ensuite, et bien, je composais des musiques insipides sans aucun intérêt tandis que j’entendais ces jeunes pucelles, avides de loups dans la forêt (notez le pluriel de « loups », plus on est de fou, plus on rit), hurler : « Osaka Chambre-d’hôte c’est les plus forts les plus beau hihi kikoolol c’est du vrai rock ». Vu la gueule du loup, obligé, c’est un pokémon. Donc deuxième point : tandis que j’étais un artiste et poète (fait le klaxon) maudit (loi de murphy oblige, sinon c’est pas marrant), incompris (je n’étais pas averti de cette pénétration annale improvisée, car sinon, j’en aurai valu deux), dehors régnait de la musique de merde dans laquelle des demandeuse de dépucelage à domicile, parfois mêmes des belles (c’est vous dire !) se prétendant intellectuelles (et là on flaire le piège) se sont engagée sans comprendre que ce pauvre Dragon Ball Z niveau cinq était un eunuque. Pour comprendre ce qu’est un eunuque, voir « Président ».

Enfin, dernier point, je travaillais. Oui, je suis ce genre de pisse-froid qui passe son temps à bosser (ou le prétendre tandis qu’il glandouille et fait travailler activement sa main gauche… sur un manche… de guitare !) ou à s’adonner à diverse activité interessantes qui lui bouffe une partie de son temps libre (c'est-à-dire si on exclue les repas, le sommeil (oui, même les demi-dieux ou besoin de sommeil), le coït (qui requiert une grande partie de mon temps), la chasse à la galinette cendrée et la philatélie des timbres bosniouk-hérzégovins du XVIIeme siècle importé d’Italie). Le genre d’activité, par exemple, qui est de monter un site (qui en redemande, d’ailleurs, le petit salopiot) : son adresse est http://xxxxxxxxxx.xxxxxxxx.com, attention, à la faute d’orthographe. Aussi insipide que la musique d’ailleurs, mais par une ouverture magnifique des voie célestes (qui prétendaient qu’elle étaient impénétrable ? Ca va chier…), j’ai réussi je ne sais comment à recueillir quelques internautes effondrés au bord du suicide collectif en l’honneur de Nyarlathotep, internautes dont je n’ai plus de nouvelle d’ailleurs, depuis que j’ai vu leurs noms dans la rubrique (‘s cube !) nécrophilie… Bizarre. Donc troisième point (et là vous remarquez que mon explication fait trois point, comme les point de suspension, que ça induit donc la symbolique supra-transcendantale que ça va continuer comme les points de suspensions… Et oui, Dan Brown peut retourner se mettre le Da Vinci Gode dans son cul, le maître de la symbolique, c’est moi ! *Rire de futur maitre du monde*) : j’étais occupé. J’ai décidé de ne pas passer par le stade cucul, et préfère directement me rendre au R (car le pet sors du cul pour prendre l’air, c’est bien connu).

Violà do… Oops, désolé pour cette faute de frappe (mes années en tant que curé qui me titillent encore) : Voilà donc, cher camarades avides de sensation nouvelles. Je vous ai tout dit. A l’instar de Dieu, mon supérieur, j’étais là, mais j’avais autre chose à faire, honte sur moi et ma famille, pour les 1032 générations à venir, flagellez moi en règle.

Je terminerai donc cet article par cette gentille phrase (on ne se refait pas) que j’ai entendu il n’y a pas longtemps, et dans laquelle je vous pète dessus collé contre vous : Les femmes gardent toujours leur cœur pour le vaincu. C’est beau, hein ? =’) Ca donne envie de gagner.

Mais rassurez vous : le con-saillie d’orientation, lui, gardera toujours son doigt pour vous indiquer la sortie !

3 juillet 2008

Aut' âge

     Ca y est, Ingrid est libre!

     On va enfin pouvoir entendre parler d'autres otages dont tout le monde se foutait tant que les Farcs permettaient à Renaud d'avoir quelque chose à dire dans ses chansons. Dommage Ingrid, on avait fait de toi l'arbre qui cachait la forêt.

     Enfin, la liane qui cachait la jungle.

     L'otage qui cachait les camps.

     La couille qui cachait le potage.

     Le François Hollande qui cachait le PS.

     Le pied qui cachait la mer*

     La mouche qui cachait la merde.

     Le Benjamen Castaldi qui cachait les con**.

     Le Rocco Siffredi qui cachait la nouvelle Volkswagen***.

     Les bourses (pleines) qui cachaient le vit.

     La soutane qui cachait les enfants de la chorale.

     Le Domenech qui cachait la médiocrité de l'équipe de France****

     La mariée qui cachait la belle famille.

     La moule qui cachait... euh, le rocher.

     Le nain qui cachait le gouvernement.

     La pédale qui cachait la gaypride.

     La pédale qui cachait le nouveau vélo de chez Décathlon.

     La pédale qui cachait Rambo.

     La pédale qui me cache les couilles, cha chuffit avec les pédales!

     La petite mèche et les lunettes qui cachent l'identité secrète de Clark Kent.

     L'anniversaire de Jésus qui cache que le 25 décembre est aussi l'anniversaire d'Isaac Newton, d'Humphrey ***** Bogart, de Burne Hogarth******, de Desireless (allez, pour Ingrid: "VOYAGE, VOYAGE!!!") et, oh mais quel hasard, celui d'Ingrid Betancourt!*******

     Le train qui en cache un autre.

     Mes 22 conneries qui cachent qu'en fait je n'ai en réalité pas grand-chose à dire sur Ingrid.

     Voyez, les expressions ne manque pas! Si vous en avez d'autres, envoyez-les moi, vous gagnerez une dédicace dédicacée. Pour Ingrid, on verra une autre fois.

     Quand au conseiller d'orientation, il vient de se faire otagiser par les Farcs et ne peut donc pas répondre à votre appel, merci de laisser un message après le BOUM! sonore.

     Arkham

*Référence à San-Antonio, "Bouge ton pied que je voie la mer".

Inculte!

**"Les Con", encore du San-Antonio!

***Où, faut-il le rappeler, il y en a 36. Si t'as pas compris, faut voir à http://brevesofanpeiste.canalblog.com/   article "Sifoiçisse"

****Moi, je m'en fous du foot, mais on a entendu parler que de ça pendant un bout de temps, et j'en ressens des effets secondaires.

*****NON, PAS BIENSUCEY!!!

******Non, je l'ai pas gardé que pour son prénom, pourquoi?

*******Y a aussi la mort de Charlie Chaplin et celle de James Brown.

23 juin 2008

Les choses ne sont plus...

.... ce qu'elles étaient !

En 1940, Jean Moulin entrait dans la résistance.

Aujourd'hui, tous les matins, j'en démoule un, sans résistance.

Désolé!

ProtzChniak

19 juin 2008

Seau d'hommage

Vaillant auditoire, public en ébulition, Mon Chéri et Rocher Suchard, bonjour.

Une exploration pré-posthume dans le passé d'Arkham, brillant pourfendeur des convenances et membre actif* de ces chroniques, a permit de me remémorer ce qui suit : "Grand amateur de Pierre Desproges, de Coluche, de Stéphane Guillon et autres fous du même genre, j'ai moi aussi décidé de me faire détester par le monde entier." (Voir "Pré en bulle", 16 Janvier 2007).

Au delà de cette péremptoire affirmation, le "grand amateur" (au demeurant plus amateur que grand...) en question a su démontrer que son admiration ne portait pas plus loin que le bout de son nez puisqu'il a négligemment oublié de célébrer en temps et en heure la mémoire anniversaire de la disparition de son Grand-Pierre!

Plus encore, en ce jour de post appel du 18 juin, il a encore oublié de rendre hommage** à la pelle du 19, celle de Coluche le jour où il a dit "camion".

Je vois déja le bouillant Guillon se retourner dans sa tombe*** à l'idée d'échapper lui aussi à la commémoration du "grand admirateur" dont l'admiration, rappelons le, ne survit pas plus longtemps qu'un bout d'ange en sucre dans la gueule du Kiki-Drucker à son pépère, mais là je m'égarre, n'est-ce pas Ponticelli ??****.

Au final*****, que reste-t-il de la tonitruante déclamation de ce déplorable écrivaillon à la plume charcutière ??? (Voir "Cuisine bovine", 18 Juin 2008). Il n'en reste que la partie finale : "j'ai moi aussi décidé de me faire détester par le monde entier."

C'est fait !******

"Fontaine, je vais boire de ton eau" annonce le slogan Arkhamien, mais tant va ce cruchon à la fontaine qu'il n'en devient pas pour autant affable.*******

Mais oublions ce vil scribouillard à l'ambition écrivaine plus développée que le talent littéraire, pour nous recentrer sur l'âme de cette chronique, j'ai nommé celui dont celle (l'âme !) se fut envolée il y a 22 ans.

Coluche, qui fus-tu ?

Un mec sans histoire (!), dont la pertinence du propos lui valut d'être catégorisé parmi les "comiques impertinents", j'invente pas, c'est Wiki qui le dit.

Amuseur, clown, pantin, comique "poil à gratter" et tant d'autres termes ont été utilisés pour le qualifier, mais il n'est pas de la vocation de ces glorieuses chroniques d'allonger la liste, on n'est pas chez Drucker merde alors. (nous, on aime les chiens morts !)

Eviter la dégoulinance des hommages homologués, d'accord, mais pas au point de nous priver d'une sympathique citation du bonhomme : alors qu'il annimait depuis quelques jours seulement une chronique (tiens, coïncidence ??) gentiment "décalée" sur Radio Monte-Carlo, il fut viré sur le champ en ouvrant sa page à l'antenne sur : "c'est Coluche qui vous parle, en direct du rocher aux putes" !

Impertinent qu'ils disent ? Pertinent !

Alors, que nous reste-t-il de son trop court******** passage sur la même terre que nous ?

Des sketches ? Des citations ? quelques bons mots ou autres pitreries ?

Oui bien sûr, on a tout ça, mais même si nombre de ses blagues n'ont pas vieilli, c'est pas pareil, la meilleure de Coluche c'était toujours la prochaine, celle qu'on s'attendait qu'il sorte et qu'on savait pas quand ni par quel trou elle allait sortir !

Alors, tout perdu avec son départ ?

Pas tout à fait, il y a la jeune génération qui sent l'inspiration dans sa salopette à rayures*********, et puis tout un peuple de France qui, bon gré mal gré, à force de baigner dans le "bon sens interdit", a su lentement mais sûrement s'imprégner de l'esprit qu'il a fait flotter durant ces années, pour aujourd'hui, avec le plus grand naturel, prolonger son oeuvre en faisant s'accroître au-delà de toute espérance sa plus marquante création : les Restos du Coeur.

Son éclairage du monde politique et le décodage de ses petites ficelles nous aurons appris à avoir un regard lucide et à ne plus commettre les erreurs du passé.

La preuve : Sarko a été élu avec 53% !!!

Putain de camion.

Quand à vous, M. le Conseiller d'orientation, il serait grand temps de passer le permis "super lourd".

ProtzChniak

* : un peu de second degré pour changer....

** : ouais, enfin, plutot "adolesçage"....!

*** : une tombe surnuméraire probablement prétée par Pascal Sevran ...

**** : quant même bien moins drôle que la V.O.

***** : final qui est comme chacun sait la contraction de "fils, tu n'es qu'une déjection issue de mon noble orifice anal".

****** : moi je te déteste, le reste du monde compte pour du beurre. Rance.

******* : l'artificier des "feux d'artifices intellectuels", c'est qui ????

******** : faut que je me resaisisse, je me Druckérise.

********* : second degré que je vous dis !

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